Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;



Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !
Baudelaire |
J'adore le pull Bash !!
RépondreSupprimerEt ce caban est superbe!
Vous êtes sublimes les filles !
Bises ♥
merci pour le commentaire, ça fait plaisir :)
RépondreSupprimerCa me dit quelque chose ce poème, oral pour le bac de français :p
Sympa les looks :)
Bonne continuation !
GENIALISSIME LE BLOG. Merci pour ton commentaire. (l). :)
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